Moment lecture [libre]

Quel meilleure endroit pour être tanquille qu'une bibliothèque? C'est une grande salle pleine d'étagères qui sont pleines de livres en tout genre, pour tout les âges, pour tout les esprits, pour toutes les personnes qui daignent entrer dans ce lieu. Entre les étagères on peut trouver des sièges plus ou moins confortables et des tables autour desquelles il y a des chaises en plastiques dignes d'une école. Souvent les gens empruntent un livre et partent le lire dehors ou dans leur chambre, seuls quelques personnes osent rester et s'asseoir sur une des chaises. C'est ce qu'a fait une jeune fille au cheveux bleus et aux vêtements blancs. Ses cheveux courts étaient ornés d'une seule barette qui représentait une rose blanche qu'on pouvait aussi retrouvé sur son t-shirt tout aussi blanc. Ses jambes nues étaient croisées sous sa jupe à froufrous couleur de neige et sa ballerine tombait de son pied en hauteur. Elle mâchait tranquillement le baton de sa sucette finie pendant que son regard bleu était plongé dans les lignes du livre qu'elle avait entre les mains. On ne l'entendait pas et on ne la voyait pas. Personne n'osait la déranger.

Rapidement, elle réajusta le bandeau qui cachait son oeil gauche puis changea de page et continua son histoire. Ses yeux glissaient rapidement sur les mots et les phrases de la page blanche et noire.

Une personne timide lui demanda si elle pouvait prendre la chaise, mais notre lectrice ne l'entendit pas, étant absorbée par son livre. L'autre prit la chaise et partit rejoindre ses amis.

Shizko, car c'est comme ça que la jeune fille au cheveux bleus s'appelle, releva la tête un peu trop tard et haussa les épaules. Elle se replongea dans son livre, mais elle n'était plus concentrée. Elle soupira, ferma l'objet et le posa. Se passant une main dans les cheveux elle observa le plafond, tendit les bras, s'étira et se rassit correctement sur sa chaise. Elle attrapa un magasine qu'elle avait sélectionné parmis tant d'autres et l'ouvrit à la page qu'elle avait marquée. Elle regarda les images et se concentra sur une en particulier. Le visage du modèle lui rappelait quelqu'un qu'elle n'oublierait jamais. En fixant les yeux de la jeune femme, elle se remémora des moments passés et, prise de panique, ferma le magasine et le poussa loin d'elle. Elle rangea les livres qu'elle ne voulait pas lire et retourna s'asseoir avec le livre qu'elle avait déjà commencé. Elle réussi à se reconcentrer dessus et à le continuer. Elle le finit et attendit un peu avant de partir à la recherche d'un autre livre.

Elle s'imaginait être le héro et pouvoir contrôlé ses pouvoirs comme lui le faisait, mais c'était à peine si elle arrivait à faire une bulle d'eau, elle. Ses pouvoirs se montraient seulement lorsqu'elle était en colère et ne se contrôlait plus, mais ce n'était pas le moment d'essayer de les contrôler. Pas le bon endroit et il ne fallait pas être seule.

Seule? Elle l'était. Etant nouvelle dans cette école, elle n'avait pas encore de personnes qu'elle pouvait appeler ''amis''. Shizko avait parlé avec quelques personnes, mais ces filles étaient trop cruches et elle ne traînait pas avec elles. Heureusement que pour le moment elle était seule dans sa chambre du pensionat.

Pourquoi Shizko aimait-elle la bibliothèque? C'est un endroit calme, presque vide surtout les jours où il fait beau, silencieux, grand où on peut être seul si l'on veut. On peut y réfléchir, penser à tout et n'importe quoi sans être déranger par un bruit quelconque.

Mais on y est seul la plupart du temps, seul avec les livres, les mots qui s'assemblent pour faire des phrases et qui font ensuite des histoires dans lesquelles on voudrait être à la place du monde réel...

-Raah je trouve rien à lire!

Le calme. Cette paix éternelle que tout le monde recherche. Des fois on pense la trouvée mais finalement on se rend compte qu’on à juste goûté un bout de celle-ci, quand on savoure un instant de paix et de silence, quand on trouve le lieu où la tranquillité nous permet de travaillé nos pensées ou d’affiner nos esprit, on devient gourmant et on continue de la cherchée. Où trouvez un bout de cette, où trouvez un bout de cette tranquillité ? Une petite idée ? Non ? Dans le lieu, où l’on peut se cultivé, où le plus sombre des crétins peut devenir le plus cultivé des sages. Où le savoir de nombreuses générations fut vulgairement retranscrit dans de lourds volumes, dont les pages blanches furent imprimées d’encore noire, la couleur des ténèbres. De nombreux livres aussi, contiennent des images, peintures, bandes dessinées, photos. C’est un mélange de culture et d’art...

Ce lieu est la bibliothèque. Lieu sacré des travailleurs, de ceux qui cherchent la paix entre les lignes d’un livres, entre les pages d’un roman, lieu où quelques curieux s’aventuraient de temps et d’autres pour glaner quelques informations ou approfondir la culture. C’était un havre de paix, où tous les sages d’esprits se rendaient régulièrement.

Parmi les étagères avançait une silhouette fine, c’était un homme de grande taille qui imposait le respect par son seul regard. Ses cheveux en dégradés de longueurs étaient élégamment relevés pendant qu ceux plus longs lui tombaient dans le dos et sur les épaules. Ses yeux clairs étaient pénétrants, et bien que son visage soit bienveillant, il pouvait en mettre mal à l’aise quelques uns. Il avançait d’un pas lent mais décidé, son doigt effleurant à peine la tranches des livres des quels il lisait les titres sans cillé. Ses habits sombres lui donnaient un aspect envoûtant, et de nombreux regards se fixaient sur lui. Ainsi le directeur était sorti de son bureau, laissant les autres pensionnaires du manoir le contemplait. Certains étaient surpris, par sa beauté et son âge d’autres était troublé par son comportement. C’était donc lui celui qu’on surnommé le prince maudit.

Ryuu, car c’est comme cela que se nommait le célèbre prince, connaissait par cœur la bibliothèque, et savait pour sûr où se trouvait chaque place de chaqu’un des livres de cette bibliothèque, puisqu’il les avaient lui-même sélectionnés. Mais il aimait voir tous ces regards assoiffés sur lui, et se faisait un plaisir de regarder les yeux suivre le moindre de ses mouvements, le manger des yeux, jusqu’ à ce qu’il disparaisse. Lorsqu’il décida que ce futile plaisir avait assez duré il prit le volume qu’il cherchait, ce livre il l’avait lu et relu pleins de fois. Et le connaissait par cœur. Tout naturel, c’était lui-même qui l’avait écrit. Se basant sur son rêve il avait conté l’histoire du prince maudit, racontant ses journées passaient au château pour réaliser son destin, il se retrouver dans ce personnage car il en était sûr lui et ce prince étaient liés. Il prit soigneusement le livre entre ses mains, contemplant la couverture aux écritures dorées, il n’y en avait que trois exemplaires car il ne l’avait imprimé qu’en trois fois uniquement. Il cherchât un endroit où s’asseoir, pourquoi irait il dans la partie du personnel ? Pour une fois il aurait put se mêler aux élèves, bien qu’en général il préférait être seul dans sa lecture il voulait varié un peu, et puis pourquoi privé ces jeunes de sa présence ?

Il vaguât entre les tables, suivit des regards, à la recherche d’une place libre. Il y en avait pas mal, et il avait l’embarras du choix, lorsqu’il s’était enfin décidé, son regard se porta sur une jeune fille aux allures garçonnes. Elle n’avait l’air guère enchantée, et semblait réfléchir profondément. Il l’observât un peu jusqu’ à ce qu’elle s’exclame qu’elle ne trouvais rien à lire. Comment cela se faisait il ? Cet endroit était un antre de bouquins, il y en avait pour tous les goûts, toutes les humeurs et peut être même. Peut être avait elle déjà tout lu ? Mais cela était impossible.Ryuu regardât ses mains, il avait peut être là quelque chose à son goûts, il s’avançât de sa démarche sûre vers la jeune fille et lui tendit le livre, la bibliothécaires ouvrit quand les yeux. Il était rare de voir le prince Ryuu s’adressait directement à une élève pour des moyens aussi fusils, l’homme dit de sa voix habituellement neutre :

« - Tenez. Peut être ce livre arriveras à satisfaire vos désirs jeune demoiselle. »

Shizko ne trouvait toujours pas ce qui pourrait assoifer son envie irresistible de lire encore et encore. Elle avait déjà lu la moitié des livres et n'en trouvait pas un qui avait le genre de chose qui lui plaisait habituellement, c'est-à-dire l'histoire et la fantaisie. Ce n'était pas le genre de fille à lire les livres d'adolescents qui coulent sous les problèmes de famille et d'amour. Ca ne l'interessait pas. Elle voulait un gros livre complexe et plein de magie et d'histoire. Un livre qui se passait dans le passé. Une histoire médiévale, avec des chevaliers et des batailles sanglantes. Peut-être même un dragon ou deux. Ou alors des sirènes qu'elle aimait tant. Peut-être une terrible malédiction dans un monde sous-marin, comme Atlantide...Ses doigts fins parcouraient les couvertures des livres de couleurs différentes et aux titres variés. Elle lu la première page d'un des livres mais se rendit compte qu'elle l'avait déjà lu et le rangea.

Shizko était tellement désespérée qu'elle n'entendit pas quelqu'un s'approcher d'elle et s'arrêter à côté de l'endroit où elle était. Ce fut les paroles prononcées par une voix d'homme mûr qui ne montré aucun sentiment qui la firent se retourner et regardé, les yeux rivés sur le visage de son interlocuteur. Il lui tendait un livre au titre doré auquel elle lança un regard rapide avant de retourner à la contemplation du visage dont elle tomba amoureuse. Elle rougit.

-Ano...Arigatô gozaimasu.

Elle fit une courbette et prit doucement le livre. C'était la première fois que quelqu'un avait réussi à la mettre mal à l'aise. Elle refit une courbette de remerciement et ouvrit le livre à la première page. Comme d'habitude, elle regarda d'abord le nom de l'auteur et fut surpise par le nom imprimé sur la page. 'Ryuu Kaname'. C'était le directeur de l'école.

-Ryuu...Kaname? Mais c'est le directeur!

Ses yeux se remplirent d'étoiles. Son visage souriant se releva pour regarder une fois de plus la personne qui lui avait prêter le livre.

-Arigatô gozaimasu Monsieur!

Elle s'assis et commenca à la lire, à tourner les pages dès qu'elle en avait fini une. Pas besoin d'avoir lu le résumé, elle savait que c'était un livre comme elle les aimait. Elle avait déjà avalé 5 pages avant de se demander sur quelle étagère il l'avait trouvé. Peut-être y avait-il d'autres livres qu'elle aimerait? Elle se tourna pour lui poser la question.

-Ano...Où avez-vous trouver ce livre? Enfin, sur quelle étagère? Ah! Gomen! J'ai oublié de me présenter. Excusez-moi! Je m'appelle Nakagawa Shizko.

Elle le salua respectueusement et attendit qu'il réponde à sa question. Elle remit son bandeau qui faisait que tomber. Elle aurait vouli le resserer, mais pour ça il fallait l'enlever, et elle ne voulait pas le faire dans un endroit public et surtout pas devant quelqu'un. Elle cacha le patch blanc par ses cheveux bleus.

Ryuu regarda la jeune fille prendre le livre, il y avait une certaine lueur dans ses yeux quand elle regarda son visage. Une lueur qu’il ne lui était pas arrivé souvent d’apercevoir sur le visage de ses étudiants. Aux premiers abords elle ne semblait pas être quelqu’un de particulièrement timide, mais on aurait dit qu’entre sa façon d’être et son comportement actuel il y avait un très grand faussé. Ryuu vit sa joie augmentée quand elle lu un nom, qu’est ce qui pouvait donc la rendre si heureuse dans quelques mots tracés à l’encre par une machine ? Ryuu ne le savait pas, mais il n’avait nul doute que bientôt il allait le découvrir. Il laissa la jeune fille le remercier sans dire mot, et la regarda avalé les pages les unes après les autres, s’abandonner dans le monde fantaisiste et pourtant réel de ce récit sans date. Elle semblait plongée dans un rêve où nul ne pouvait l’en sortir et ne fit même plus attention à la présence même du directeur. Ryuu était fier qu’un récit puisse envoûtait autant quelqu’un.

Les yeux azurs de la jeune fille se levèrent soudain et elle ferma le livre. Que se passait il ? Ne prenez elle déjà plus plaisir à lire ce contes ? Non, Ryuu savait très bien que ce n’était pas cela, et il resta sur place, un sourire neutre collé sur ses lèvres fines. Visiblement, elle avait une question à lui poser, une question bien intéressante. Où pouvait on trouver d’autres livres comme celui-ci ? La réponse était simple, il n’y en avait pas, ce récit était unique en son genre cette façon d’écrire était propre au prince et nul ne pouvait l’imiter. Cependant il y avait tout de même quelques livres qui pourraient intéressait la jeune fille puisqu’il s’était lui-même passionné dans la lecture de ceux –ci.

Il fit une courbette poli, lorsqu’elle se présenta, mais il ne tenait pas dévoiler tout de suite qui il était. Elle devait être nouvelle, pour n’avoir jamais vu le visage du directeur en personne, maintenant qu’il avait son nom il se souvint avoir tamponner un dossier portant la photo de cette chevelure bleutée et de ce bandeau blanc cachant la moitié d’un visage calme. Oui, elle était donc nouvelle. Il sourit à nouveau, ne se présentant toujours pas. Il dit sur un ton courtois :

- Vous pouvez trouver des récit de ce genre dans la partie ’Histoires et Légendes’ mais je ne sais pas si cela satisfera votre soif de lire. Si je peux me permettre, je vous ferez une liste des livres qu’il vaut la peine de lire, maintenant que j’ai votre nom mademoiselle Nakagawa.

Il porta sa main sur le recueil que la jeune fille tenait encore dans les mains. Elle tenait serré contre elle une pièce à laqu’elle le directeur portait beaucoup d’affection, et qu’il n’aimerait pas voir abîmé en aucun cas. Mais il pensait que quelqu’un d’aussi passionné, ne gâcherais la beauté d’un livre comme celui-ci car le contenu n’en faisait pas son unique charme, la couverture aussi se devait d’être plaisante pou attirer les regards. Ryuu dit en se baissant légèrement :

- Faites très attention à ce livre. Il me serait déplaisant de le découvrir en mauvais état puisque j’en suis l’auteur...Entendu ?

Il sourit une fois de plus. Maintenant les présentations étaient faite, et tout comme les occupants de cette salle, qui regardaient la scène avec intérêt, elle savait à présent à qui elle s’adressait maintenant. Ryuu se demandait par ailleurs par quel nom avait elle l’habitude de l’appeler si jamais il lui était déjà arrivé d’évoqué le directeur, étais ce simplement le directeur d’établissement ou le prince maudit ? Il avait plusieurs surnoms mais ces deux étaient les plus courants aux jours actuels...

Dans la partie 'Histoires et Légendes'? Shizko se jura d'aller y faire un tour et de dévorer tout les livres, autant qu'elle pouvait du moins. Elle le remercie et s'assis. Elle était fatiguée de rester debout, son habitude étant d'être assise à lire. Il dit aussi qu'il lui ferait une liste de livres à lire. Vraiment? Shizko en serait tellement heureuse! S'il avait réussi à trouvé celui-ci, il trouverait sûrement d'autres livres qui lui plairaient!

-Merci beaucoup.

Elle avait remarqué que, bien qu'elle se soit présentée, lui ne l'avait pas fait. Tan pis, peut-être ne voulait-il pas dévoilé son nom aux inconnus? Mais c'était idiot. Sans nom, on restait inconnu... M'enfin. Elle découvrirait bien son nom un jour. En attendant, elle lirait les livres qu'il lui conseillerait. Elle les lirait et peut-être bien qu'elle les relirait encore et encore. Pour le moment il fallait finir celui-ci. Celui qu'elle avait entre les mains. Celui sur lequel était maintenant posée la main de l'homme inconnu. Avec sa voix toujours aussi neutre, il lui demande, ordonna presque, de ne pas l'abîmer, d'en prendre soin, car il en était l'auteur.

L'information fis deux fois le tour du cerveau de Shizko avant qu'elle analyse et comprenne. Il en était l'auteur? L'auteur était Ryuu Kaname. Ryuu Kaname était l'auteur et l'auteur était devant elle. Donc 'l'homme inconnu' était Ryuu Kaname. Autrement dit, le directeur de l'école, le Prince Maudit. La personne que Shizko voulait rencontrer et qu'elle avait maintenant devant les yeux. Elle faillit faire lâcher le livre tellement elle était surprise. Mais elle s'y accrocha. Il ne fallait pas l'abîmer.

-Ryuu Kaname? Vous êtes vraiment Ryuu Kaname?

Elle n'arrivait pas à dire autre chose. Le choc la tenait encore prisonnière. Il lui avait prêté le livre qu'il avait écrit, il allait lui faire une liste de livres qui l'interesseraient sûrement et il lui avait dit où trouver des livres du même genre que celui qu'elle avait entre les mains. Entre temps, elle avait parlé avec la personne qu'elle voulait le plus rencontrer, et ce sans le savoir. Un gros silence suivit et elle s'en sentit gênait.

Maintenant elle se demandait si elle était présentable devant ce Prince. Surtout que son bandeau tombait encore et qu'il serait bien temps de le remettre en place. Elle le remonta un peu le temps de s'excuser auprès de lui et de se tourner vers l'étagère de derrière pour l'enlever, le resserer et le remettre. Grâce à l'habitude, ce fut fait rapidement.

-Gomenesai, j'ai eu un petit problème avec mon bandeau.

Pour s'excuser encore une fois, elle fit une révérence, la plus polie qu'elle puisse faire, avec tout le respect qu'elle devait au supérieur de tout les supérieurs de l'école. On pouvait dire, en quelque sorte, qu'elle idolatrait Ryuu Kaname. Même sans avoir vu son visage. Rien que d'en avoir entendu parlé, elle avait décidé de devenir comme lui, si elle pouvait...

[H.S: Nan poisson d'avril chuis le Père noël en fait xD Pardon -_-' Gomen c'est fait un peu à la rache x)]

La jeune fille sembla à première vue troublée par cette révèlation. Mais Ryuu préféra ne rien dire attendant la suite des évènements avec patiance.

Dehors il faisait beau, et le temps était propices aux balades et autres activités, ce qui expliquait sûrement le vide dans cette bibliothéque où dors et n'avant le calme n'était troublé que par les quelques mots échangés par la jeune fille et le directeur lui même. Ryuu n'aimé pas troublé la tranquillité de cette bibliothéque, elle était un antre de paix pour tout les jeunes amants de textes et gâcher leurs plaisir avec une chose aussi futiles que les mots était quelques chose qu'il ne supporter pas. Il attendi que la jeune fille est terminé de remettre en place son bandeau avant de s'incliner à son tour, et murmura:

- Vous êtes devant le prince maudit lui même my lady et ce prince à une requête pour vous.

Il se releva ensuite, ne continuant pas tout de suite. Les gens avaient arrêtaient de lire, les regards étaient tournées vers eux et lorsque Ryuu leva les yeux pour se regardait autour, il vit quelques visages rougirs puis retourné se cacher derrière les pages d'un livre ou d'un étagère, la bibliothécaire elle même, sembla gênée et refixat ses petits yeux de furets sur l'écran de son ordinateur afin de classer les emprunts de la journée. Ryuu se tourna à nouveau vers Shizko dédiant toute son attention à celle-ci, elle faisait partie de ses enfants bien aimés et méritait donc qu'il lui accorde de l'importance:

- Ma requête est de stoppé les troubles que nous causons ici. Je vous autaurise à sortir d'ici avce ce livre, et a discutez avec moi en dehors de ces murs. Vous acceptez de me suivre?

Ryuu fit un élègant mouvement de bras en direction de la sortie. Comme quoi, il n'y avait pas que la légende qui lui valait le nom de prince mais aussi sa façon d'être, sa façon de faire. Ses vêtements, ses manières, sa façon de parler, tout rappeller cette époque où les bonens manières étaient une prioritée absolue et Ryuu regrettai un peu cette époque révolue. Pourtant en lui, il y avait quelque chose de vraiment trés peu princié, son regard des fois infonder un mal aise peu commun. Il était peut être trés beau et élègant, il n'en était aps moins térrifiant des fois. heureusement ce n'était pas le cas pour le moment, et son sourrire bienveillant ne semblaut pas vouloir quitté son visage.

- Discuter devant une tasse de thé cela vous convient il?

[H.S. : C'est court mais je t'aurais prévenue! xD]

'My Lady' paraissait très formel, voir trop pour la jeune Nakagawa, qui n'avait pas l'habitude qu'on lui parle ainsi. Mais que pouvait-elle attendre de plus du Prince? Cette expression trop polie la troubla encore plus qu'elle ne l'était. Il allait falloir qu'elle s'y habitue, surtout si d'autres personnes parlaient ainsi. Elle qui n'avait jamais entendu de paroles comme celles-ci.

Shizko se rendit compte que beaucoup de regards étaient rivés sur eux, quelque chose qu'elle n'aimait vraiment pas. Elle détestait attirer l'attention et la requête que lui demanda le Prince, elle l'accepta sans rechigner. Être à l'abri des regards et ne plus être le centre d'interêt : Oui s'il vous plaît. Elle ne voulait rien dire alors elle répondit par un signe de tête.

Son geste désignant la porte fut digne d'un mouvement de danse, des mouvements des personnages littéraires qui bougent comme des cygnes. Mouvement léger et gracieux. Elle l'observa, ébahit, et l'enviait dans sa façon de faire. La jeune fille ne savait pas avoir l'air aussi noble que ça, et pensait que lui seul pouvait le faire. Après tout, c'était un Prince. Ces mouvements donnaient envie à Shizko d'aller dans l'époque médiévale où tout le monde se conduisait de cette manière. Certaines personnes non habituées pourraient avoir du mal à accepté autant de graçe et de noblesse mais elle ça na la gênait pas, au contraire.

Nakagawa fut prise par surprise à l'invitation de discuter autour d'une tasse de thé. Elle accepta directement et commença à se diriger vers la sortie de la bibliothèque, puis s'arrêta, ne sachant pas par où il fallait passer et surtout ne sachant pas où ils allaient... Elle se tourna vers le Prince et le regarda avec un air timidement interrogateur et gêné, attendant qu'il la guide.